Qui va payer ?

Depuis 2002, les mercenaires du burkinabé Alassane Dramane Ouattara n’ont fait que massacrer des milliers d’ivoiriens. Les barbaries qu’ils commentent aujourd’hui dans la seconde partie du pays qu’ils n’avaient pas réussi à envahir ne devraient étonner aucun esprit éclairé. En 2002, ils avaient déjà montré leur nature cruelle et sanguinaire à la face de la nation et à celle du monde. En 2011, ils n’ont fait que confirmer ce qu’ils sont réellement : des barbares sanguinaires. Pour le comprendre, il faut connaitre la mentalité de ces gens là. Complexé par la médiocrité de leur statut social et de leur origine, ils n’hésitent pas le moins du monde à faire la courbette pour obtenir la moindre faveur ou la moindre pièce de monnaie. Mais dès qu’ils ont le dessus sur mieux lotis qu’eux, ils montrent leur vraie nature faite de barbarie et de cruauté. Si l’Afrique a pu être colonisée, c’est grâce à cette race d’africain. Cette race de « Oui missié bwana », cette race hypocrite de « Oui patron ! J’ai compris patron ! » Qui ne rêve en réalité que d’être comme le patron. Pendant dix, vingt ans, ils vous serviront des « oui patron ! » mais dès qu’ils vous auront à leur merci, ce sera l’horreur. Ce sont les mêmes qui massacrent aujourd’hui les ivoiriens dans leur propre pays en leurs disant « vous allez devenir nos boys¹ ».

Mais, qui donc paiera la facture de cette montagne de cadavres quand viendra l’heure des comptes ? Sarkozy ? Obama ? Assurément non ! Car il n’y a que les nègres, et quelques sous-européens de l’est qui sont habilités à moisir dans les geôles de la CPI. Qui donc paiera, si cela devait se faire un jour, pour les crimes des mercenaires sanguinaires du MPCI, rebaptisés FAFN, puis FRCI ? Le meilleur « fusible » ne pourrait être que celui qui a toujours revendiqué la tête du mouvement criminel, c’est-à-dire Soro Guillaume, même s’il est certain qu’il n’est qu’un pantin entre les mains de son maître Alassane Ouattara, lui-même pantin de ses maîtres occidentaux. Cela explique la peur qui tenaille en ce moment le petit rebelle voleur et violeur, qui utilise le poste de premier ministre comme un « parapluie atomique ». Le temps viendra ou les terroristes occidentaux devront se débarrasser des « kleenex » usagés dégoulinant de sang. C’en sera alors fini pour le père du « braiser moi ça ».  

1-Domestique dans le langage familier ivoirien. Les domestiques, en Côte d’ivoire, sont principalement d’origine burkinabé et malienne.