Gbagbo, un Couard ou un Woody ?

Gbagbo serait il un peureux de la pire espèce ? Un lâche qui fout la « merde » – des élections sans désarmement- puis court se cacher derrière le peuple ? Un enfant gâté qui cherche la bagarre dehors, puis court se refugier dans les jupes de sa mère lorsque ça chauffe ? Le constat est clair : il refuse de faire le sacrifice suprême de sa personne pour la nation, comme il le demande aux ivoiriens depuis 2002, et se met à trembler comme une feuille morte dès que l’épouvantail factice de la cour pénal internationale est agité sous se yeux, par des gens qui mériterait milles fois plus que lui d’y être jugés. En effet, des milliers d’ivoiriens ont été massacrés par les rebelles sanguinaires du voltaïque Alassane Dramane Ouattara.

Le peuple ivoirien à la détermination inébranlable, engagé dans un combat à mort contre l’exploitation des nations africaines par les racistes esclavagistes occidentaux, ne reculera devant rien. Quelques soient les actes que posera Gbagbo, ils le traineront, pour servir d’exemple aux autres, devant la C.p.i qui est un instrument de soumission entre leurs mains.  On dit chez nous que « cabri mort n’a pas peur de couteau ». Après avoir tout cédé aux rebelles sanguinaires d’Alassane Ouattara, ils attendent de lui une dernière chose: qu’il se fasse Hara-kiri pour être entièrement satisfait. Il a dans la plus extrême des naïvetés tout cédé aux rebelles des voltaïques sanguinaires Alassane Dramane Ouattara et Blaise Compaoré. La seule chose qu’il n’a pas encore fait, est de leur offrir sa tête sur un plateau d’argent. Gbagbo semble ignorer qu’il est engagé dans un combat à mort contre les tenants de l’ordre mondial, qui ne tolèrent les dirigeants africains que dans la soumission.

Pour les racistes occidentaux, il est un « cabri mort ». Qu’il donne donc, à l’armée, les ordres pour neutraliser, définitivement, les ennemis de la nation. Qu’il en assume la responsabilité. Qu’il s’offre en sacrifice pour la sauvegarde et le salut de la nation et la libération de l’Afrique entière. Aucun esclavagiste américain, ni français ne touchera un seul de ses cheveux sans avoir auparavant tué tout le peuple ivoirien. Les générations futures, dans leur immense gratitude lui érigeront un gigantesque mémorial, à la dimension de son sacrifice.

Nous aimerions donc voir Gbagbo remettre les ennemis de la nation à leur place, en prenant lui-même, les devants du combat à mort dans lequel la patrie est engagée contre l’ordre mondial des esclavagistes occidentaux, qui considèrent le continent africain comme un « no man’s land », où ils peuvent venir voler , impunément, les matières premières indispensables au fonctionnement de leurs industries.

Des « Gbagbos », il y en a aujourd’hui des millions, et même en mieux, en Côte d’ivoire. On verra maintenant si Gbagbo est le Woody qu’il prétend être. Si un petit pays comme l’Erythrée a su se faire respecter des racistes et pillards occidentaux, pourquoi pas la Côte d’ivoire ? Les érythréens ont foutu dehors, avec un bon coup de pied au cul, cette chose appelé O.N.U. qui tentait une recolonisation sournoise de leur patrie. On attend maintenant la même action de Gbagbo, vu que l’Onu, cette association dominée par des états bandits, sert de camouflage aux néo colons français et aux impérialistes américains pour imposer leur « ordre mondial satanique », et leur marionnette sanguinaire, le criminel Alassane Ouattara, à la tête de la nation ivoirienne.